CEIDF – PART VARIABLE, les dés sont pipés

Basé sur le développement de notre fonds de commerce, l’accroissement des ventes en tout genre et à n’importe qui, vers l’infini et au-delà, avec un classement PCO au combien révélateur du travail de chacun (ironie), on ne peut que constater que les dés sont pipés en ce qui concerne la part variable.

Preuve en est, ces derniers mois avec :
• Le maintien d’une grille de taux immobilier en décalage de 0,6 %.
• Une assurance Groupe CNP quatre fois plus onéreuse qu’ADE service, elle-même deux fois plus chère que la concurrence.
• L’augmentation à deux reprises des primes d’assurance IARD cette année, alors que la concurrence n’a procédé qu’à une seule augmentation.
• La baisse des taux d’épargne CAT. Quand la concurrence continue à proposer du 3 % sur 4 ans (CIC par exemple) la CEIDF peine à offrir du 2,80 % sur un an ! Cherchez l’erreur, quand il nous est demandé de réaliser en trois mois, quatre fois plus de collecte qu’en neuf mois !
• L’augmentation à venir de la tarification en 2025 (avec par exemple les frais des opérations carte hors zone euro, 1 euro minimum et plus de plafond !), comme si la concurrence et les banques en ligne n’existaient pas et que nos chères clients BPE l’ignoraient…

Cherche-t-on à nous mettre des bâtons dans les roues, ou bien les choix de nos grands stratèges de ces dernières années ne seraient-ils pas si judicieux ?
Les nuages s’amoncèlent et l’orage gronde pour les commerciaux…

Alors que faire ?

Sud va continuer à proposer encore et toujours à la direction, en espérant qu’elle trouve enfin le chemin du bon sens :

  • De récompenser les salariés fidèles lors des NAO (PPV, prime d’expérience, augmentations générales, intégration de la part variable au salaire de base…).
  • Annulation du projet accueil partagé qui est un échec total dixit le retour des salariés, des clients et du rapport d’expertise.
  • Révision des espaces délégataires, car les 0,50 d’un DSC en prêt conso, et le TMZ pour un prêt immobilier, ça commence à coincer.
  • Remise en place de la double comptabilisation entre les SARCP/COFI et la GP, car nous ne sommes pas concurrents, et cela évitera à de petit managers GP de passer leur journée à scruter la PAQ pour demander des comptes aux SARCP.
  • Arrêt des shows, et actions en tout genre, car la journée de la GAV ou la semaine du conso du DRA, c’est un management d’un autre temps que PERSONNE ne veut plus.
  • Investir dans nos outils informatiques existants au lieu de se lancer dans des pilotes hasardeux (intelligence artificielle…) afin d’avoir enfin une informatique fiable.

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