CEIDF – NAO 2012

« Ce qui est important pourun salarie : c’est ce qu’il touche » »

Qui a dit : « Ce qui est important pour un salarié, c’est ce qu’il touche » ? C’est assez inattendu, mais ils’agit du DRHS, JP Deck. Cette déclaration frappée au coin du bon sens, les représentants Sud lareprennent à leur compte car, manifestement, un certain nombre de salariés de la CEIDF n’arrivent plusà vivre décemment avec des rémunérations nettes à 1 300 €. Certains faisant appel à l’assistante socialede l’entreprise pour obtenir des bons alimentaires. Si le DRHS a annoncé avoir plusieurs pistes de réflexiondont la mise en place d’un salaire minimum, il reste à savoir à quelle hauteur il place le curseur. PourSud, cette mesure doit s’accompagner d’une augmentation générale pour tous afin de compenser laperte de pouvoir d’achat. Nos revendications portent pour l’essentiel sur la rémunération fixe des salariésde la CEIDF. Après plusieurs années de disette, le directoire doit entendre et répondre favorablementaux revendications salariales.