JUSTICE SOCIALE – URGENCE ÉCOLOGIQUE MOBILISATION GÉNÉRALE

MOBILISATION GÉNÉRALE

L’été des catastrophes

L’Amazonie, l’Afrique et la Sibérie brûlent sans qu’aucune mesure significative à l’échelle internationale ou locale ne soit prise. Ces incendies servent les intérêts des tenants de la déforestation : l’agro-industrie et les multinationales de l’extractivisme (minerai, énergie fossile…), qui font partie des piliers du système capitaliste qui nous mène droit dans le mur.

Les états/gouvernements n’ont aucune volonté d’agir pour limiter la hausse à 1,5°C comme le stipulait l’accord de Paris de 2015

Au contraire, ils continuent de soutenir le système capitalisme et sa course effrénée au profit au détriment de la planète et des populations. Les exhibitions de Macron en géant vert sur la scène internationale ne masquent ni l’inaction de son gouvernement ni ses méthodes répressives contre les mouvements sociaux et écologique, répressions condamnées par le bureau international des droits de l’homme à l’ONU.

Les multinationales sont les principales responsables

Elles exploitent les travailleurs et les travailleuses, elles pillent la planète en toute impunité avec le soutien voire l’inféodalisation des états. Ces derniers négocient des accords en faveur de ces multinationales qui n’hésitent pas, en retour, à les attaquer en justice via des tribunaux taillés sur mesure pour affaiblir la législation sociale et/ou environnementale du pays (conséquences des accords dit de libre échange, tels le Tafta, Ceta ou Mercosur…).

Rendre nos comportements individuels « vertueux » écologiquement, ne suffira pas à inverser le cours des choses si les principaux responsables de la pollution ne sont pas stoppés.

Poursuivre, amplifier et élargir la mobilisation sans attendre

Les mobilisations sociales et écologiques ont portés sur le terrain des luttes, l’urgence à agir conjointement pour la justice sociale et écologique. Pour atteindre le système capitaliste qui impose croissance et satisfaction des actionnaires, il est nécessaire d’agir ensemble : syndicats, mouvements climat, mouvements sociaux (dont des gilets jaunes), pour construire un rapport de force à la hauteur des enjeux. Nous le disons, cela passera par le blocage de l’économie à deux niveaux : la grève des salarié.es et la grève de la consommation.

SUD-SOLIDAIRES BPCE APPELLE À LA GRÈVE

Le 20 septembre, rejoindre par la grève intergénérationnelle, les mobilisations

de la jeunesse pour une société juste, solidaire et écologique

Le 21 septembre, participer massivement aux manifestations organisées

sur tout le territoire pour amplifier et élargir le rapport de force en construction

L’équipe SUD-Solidaires

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